C’est le départ pour Marrakech.
La route est chargée et nous
accumulons du retard.
La sortie ville ressemble aux autres.
Quelques tentes d’un souk de la veille
restent installées dans un village.
Pendant le voyage nous retrouvons les
mêmes gestes, mêmes maisons les mêmes habitudes.
La campagne est identique, le milieu agricole est peu ou pas développé.
Nous décidons de prendre l’autoroute.
La voie est propre contrairement aux
informations reçues, de plus elle est clôturée de chaque coté.
Sur le chemin nous croisons régulièrement
des autostoppeurs.
Les cars ou certains véhicules
s’arrêtent sur la bande d’urgence ; obligation nécessaire.
Les aires de repos sont rares.
Sur la route quelques camions sont
surchargés.
Le paysage commence à changer, la
terre devient ocre, un tracteur apparaît au loin avec un toit pare soleil.
Le copain est moderno, mais tout
proche, la main d’œuvre est présente.
Le principe de gardiennage reste le
même, baraque ou tente.
Le paysage se vallonne.
Nous apercevons une nouvelle structure
d’habitation du monde agricole.
Elles sont de forme carrée.
L’enceinte de la propriété est de
couleur ocre foncé.
Des gens quitte l’autoroute pour
rejoindre leur domicile.
Au loin Marrakech se dessine.
Nous arrivons par la palmeraie.
Encore quelques km et le camping
devrait faire son apparition.
L’interrogation se pose ?????
Voir rubrique Campings.
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