Jeudi
5 Novembre
8 h nous partons de Fès avec du regret,
nous prenons la direction Tétouan
Une route plaisante sans état de
siège.
Comme à la coutume les contrôles routiers
près des villes et villages.
Aucune rigueur pour les touristes au
contraire de la courtoisie, grande différence avec la Grèce des années 70.
Nous apercevons un monde agricole de
nos grands parents, les champs sont labourés avec une herse tirée par deux
chevaux et souvent des ânes.
Les tracteurs sont rares, les semis se
pratiquent à l’ancienne souvent à deux.
La terre est noire et parait de bonne
qualité.
Un arrosage automatique reste en guise
de décoration faute d’entretien ou d’eau.
Sur la route les enfants saluent les
touristes.
Les points d’eau sont envahis par des
bidons ou des stockages montés sur des charrettes.
Ce système alimente les habitations.
Dans un village la taille des eucalyptus
se pratique avec rigueur.
Nous croisons régulièrement des
camions transportant des bidons vides d’eau minérale.
Des campements de berbères sont
installés pour garder les troupeaux de moutons ou de chèvres
Beaucoup de nuages mais pas d’eau.
Le paysage montagneux est magnifique.
Beaucoup de verdure.
De temps en temps nous apercevons le
respect du code de la route qui est régulièrement appliqué ici.
A noter que nous avons aperçu qu’un
seul accrochage léger mais avec le débarquement des bleus.
Des jeunes jouent, d’autres
travaillent.
Ici bison futé serait au chômage.
Le réseau routier est très fluide sur
l’ensemble du pays.
Nous arrivons en banlieue de Tétouan
ou des vaches paissent dans carré d’herbe autour des immeubles, plus loin nous apercevons des
moutons.
Le monde rural aux portes des villes.
Nous arrivons à Martil site
touristique de renommé.
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