Nous partons pour Fès.
Ce n’est pas la première fois que nous
apercevons ce genre de transport.
Le véhicule est complet.
Les gens prennent des risques,
s’exposent à des accidents.
Un relai téléphonique est submergé de
nids de cigognes.
Sur la route, un âne contribue à
l’activité familiale.
Le paysage aux multiples facettes
défile.
Nous devons repasser par Meknès pour aller
à Fès.
Des camions surchargés, des maisons
dans un triste état, un carrosse, des vaches qui se dirigent vers un coin
d’herbe, des bidons d’eau à remplir c’est la vie quotidienne qui mène à Fès.
Sur le chemin de la campagne nous trouvons des cultures d’oignons, des cépages dont les terrains sont clôturés.
Pour se rafraichir des tables sont mises
à la disposition du public.
En bordure de routes la récolte
d’olives commence.
Tous les
travaux sont manuels.
Des vendeurs de fruits, de légumes,
des récoltants, des maisons dont le confort est plus que rudimentaire ouvrent
les portes de Fès.
L’entrée de la ville est magnifique.
Palmeraie, murailles, la ville
ancienne apparaît.
Le GPS nous dirige sur l’aventure du
nouveau camping à découvrir.
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